Boxe clandestine, ours en liberté, manchots taxés par Trump, promo-piège chez Casa...
- Florent DEPOILLY
- il y a 7 jours
- 2 min de lecture

C’est une nuit étrange. Le genre de nuit où la Lune semble nous fixer plus qu’on ne la regarde - toujours ce même visage figé, impassible, alors qu’en bas, le monde part en vrille.
Dans les Pyrénées, les ours prospèrent. 96 au dernier comptage. Eux seuls avancent.
À Paris, Jean-Claude Van Damme est accusé de l’inavouable, Christian Clavier tacle un géant du cinéma et Adeline Blondieau se planque d’une fan envahissante.
Quant à Michel Polnareff, il balance sur la nouvelle génération de chanteurs français, « très pauvre ». L’Amiral tire encore des boulets, mais plus personne ne répond au canon.
À Strasbourg, on retrouve des ossements dans un sac de couchage, alors que l'ex-conjoint de Lio fait une mise au point étrange suite au décès de leur fils, Diego. L’enquête piétine.
En parallèle, le crash de Charm el-Cheikh refait surface. 21 ans après, un procès s’ouvre. Le passé ne dort jamais.
Dans la Drôme, un jeune Marocain fait un salut nazi devant une synagogue. Procédure d’expulsion immédiate. L’émotion étouffe le débat.
À la FFF, Noël Le Graët plie. Il renonce au recours. Trop de « dérives de comportement » révélées. Trop tard. À l’autre bout du terrain, un arbitre amateur pète un câble et balance un high kick sur un coach furieux. Le foot devient combat libre.
Chez Casa, les promos à -90 % attirent la foule. Trop belles pour être vraies. À Carrefour, des pâtisseries à la salmonelle empoisonnent les rayons. La consommation tourne au piège.
Trump annonce de nouveaux droits de douane. 10, 20, 30 %. Les manchots sont touchés. Pas la Russie. L’absurde devient doctrine.
Pendant ce temps, un ancien champion de boxe, totalement ruiné, monte sur un ring clandestin. Le combat n’est pas homologué. Il y reste. Pas de licence, pas d’assurance, pas d’hommage. Juste une vidéo virale. Sa mort devient contenu.
À M6, le casting de la saison 4 des Traîtres est dévoilé.
Mais les vrais traîtres se planquent ailleurs. Sur la face qu’on ne voit jamais...
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